Joe Carpa
Brasserie à l’ambiance tamisée et chaleureuse, qui met en valeur des matières nobles aussi bien dans sa décoration que dans votre assiette.
Pour les carpaccios évidemment.
© Joe Carpa
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Brasserie à l’ambiance tamisée et chaleureuse, qui met en valeur des matières nobles aussi bien dans sa décoration que dans votre assiette.
Pour les carpaccios évidemment.
© Joe Carpa
Le café-restaurant du Musée des beaux-arts d'Angers. La convivialité toujours !
Boire - Manger - Bruncher.
Ils intègrent la flammekueche dans le brunch.
Un écrin chic et moderne dans un bâtiment d’exception. Deux amies pâtissières, spécialistes du chou, le déclinent dans un maximum de recettes différentes. On goûte et on partage un chou aux figues et au miel, un autre à la pêche et au poivre de sishuan. Le fameux croissant à l’avocat et aux épices est une tuerie, les chocolats chauds – brassés à la cuillère –, si réconfortants en ce début d’automne. On note la pyramide et la couronne de choux que l’on peut réserver pour un événement particulier. On a vraiment eu un faible pour les cookies.
Cette cour est apaisante avec ce bel arbre central. On choisit des pancakes aux fraises avec du sirop d’érable. Le goût du fruit, la simplicité du produit. On en commande un autre avec des lardons et des œufs aux plats. On a soudainement envie de reproduire cette recette à la maison. On poursuit avec un Benedict english muffin : muffin Anglais, saumon fumé, œufs pochés et une sauce hollandaise. C’est assez généreux et très fin en bouche. Une fois n’est pas coutume, on teste le fameux mocktail de la cour Virgin Beard Berry : sirop de rhubarbe, jus de fraise, jus de citron vert et limonade. On note les différentes propositions végétariennes et vegan. La carte change tous les mois.
Smack, comme un bisou sur la joue, nous accueille du mercredi au dimanche de 11h à 18h. Ici, le brunch c’est quasi toute la semaine. Tout est fait maison avec des produits de saison économiquement viables. On opte pour Le Chicken Burger : effiloché de poulet paprika, chou rouge, mayonnaise légèrement spicy et potatoes. Une belle inventivité. On enchaîne avec le Burrata toast : burrata crémeuse servie sur une belle tranche de pain complet toasté, herbes, tomates cerises, pignons de pin grillés et pistaches. Recette plus classique et très bien réalisée. On termine avec Le Granula (peut-être le meilleur d’Angers). Les morceaux de chocolat sont généreux. C’est fondant et craquant. Et cette alliance du fruit, du chocolat et du croquant des céréales ! Nous avons eu la chance de déguster en avant-première un cocktail de betterave. Validé !
Sur la place vivante du Pilori, on entre dans le lieu aux murs couverts de photos de famille. Notamment de Marguerite, l’arrière grand-mère des deux sœurs aujourd’hui aux commandes. Un brunch en deux temps où l’on choisit pour toi. Une partie salée puis une sucrée. Un brunch original dans les saveurs qu’il propose. On aime le velouté courgette/ fromage frais, la salade de pastèque, melon et féta croquante et colorée. Le plateau de fromages et charcuterie est varié. On découvre notamment le salami et son tour de parmesan. La confiture de fraise maison avec ses gros morceaux de fruits s’étale sur des tartines de pain frais. On est reparti avec les fondants au chocolat dans une petite boîte. Le brunch copieux.
Comme le bon roi René en son temps, on traverse le pont-levis et les jardins jusqu’au Logis du gouverneur. Le brunch y est servi à volonté, à l’intérieur. On se déplace jusqu’au bar et on ramène sur un plateau, dans la cour sous les arbres, une première assiette salée : œufs brouillés, champignons, pommes de terre et saucisse. On poursuit avec la savoureuse verrine de petits pois, mascarpone et menthe. Nous terminons avec des rillettes de thon et de la crème d’artichaut. Tout est frais et délicat. On se met à rêver de la vie de château. Le paysage alentour est incroyable.
Chez Il Fiore, ouvert il y a 4 mois, on travaille en famille. Le père Tony est au fourneau, Marie, la fille, au service. On nous installe sur l’agréable terrasse avec en point de mire la tour Saint-Aubin qui nous fait un clin d’œil. Ici tout est frais et local, à l’exception du jambon et de la truffe qui viennent d’Italie. Les desserts sont maison et on décline la Flore di Latte bien crémeuse. On adore. La carte est simple et traditionnelle, les pizzas cuites au feu de bois. On opte pour la Nordique et la Forestière, aussi généreuses que savoureuses. On a joyeusement fêté l’ouverture de cet établissement avec un petit verre de Limoncello. Salute !
Direction la Doutre : nous embarquons sur la toue cabanée, bateau de pêche fluvial traditionnel amarré face au Château. Les pâtes fraîches au bleu d’Auvergne s’imposent avec une belle quantité de copeaux de parmesan gourmands. La pizza Spianata avec une base N’djuda nous intrigue. On apprend qu’il s’agit d’une saucisse de porc de Calabre. Certains racontent même qu’elle a été introduite en Italie du Sud par les Angevins ! On accompagne le tout d’un Chianti de Toscane au léger goût de violette très convcaincant. Sous les étoiles, le tiramisu maison fait l’unanimité. Lorsque la nuit tombe, on se retrouve enveloppé d’une nuée d’éphémères. Approfittiamo di ogni giorno !